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      Une fois arrivé chez moi temps bien que mal , car tout mon Corp me brûlais de par tout . Je me dévêtis , et je regardais comment enlever cette chose qui m'entravais le sexe , mais il y avais un cadenas que je ne pouvais voir correctement , situé sous mes testicules. Je décide donc de prendre une douche et devoir sa au calme pus tard . Après ma douche j'ai voulu m'allonger sur le canapé mais là je fut vite rappelé a l'ordre par là douleur , je décide donc de mètre une couverture par terre et de m'allonge sur le ventre , et je fini par m'endormir en passent a tout sa . Le lendemain en me préparent pour aller au boulot , une petite douleur étais toujours là pour me rappelé se qui c'était passé . L'astriente qu'il ma mi ne me gène pas plus que sa , juste faire attention au wec . Le soir venu je téléphone a une connaissance pour voir s'il pouvais me retiré cette chose qui m'empêche et qui fait mal quant je bande . Une fois ver lui je me déshabille et il regarde , il me dit donne moi le numéro que je le contacte , je m'exécute et il appel mon bourreau. Pendant qu'il téléphone je tente de retiré en vin l'engin , Il revins ver moi et me dit ,

    - Je ne peu pas te le retiré , sais un maître qui ta pris en apprentissage , il n'y a que lui qui peu te l'enlever

       En coller et dépité je rentre chez moi et sur mon portable un message s'affiche ;

     - (  si tu veut que je te liber , vas falloir que tu vienne me voir,,,,,,,,    et là tu va encore sou-frire ,,,,,   lopette )

    Je n répondit pas , je reçu un message tout les jour là première semaine , mais je voulais trouver un autre moyen . au bout de plus de trois semaines , j'étais résigné et je du contacter mon bourreau pour qu'il me débarrasse de son astriente , mais sa réponse ne fut pas celle que j'attendais .

    - Tu vient et je te laisse les couilles libre pendent deux heurs

    - Non je veux que tu reprenne tout truc ,,,, et que tu me foute là pais

    - J ai commence je fini de t'éduquez ,,,,,,,,,,,,,  comme bon esclave tu va venir ,,,,,,,  et tu ferra se que je veux ,

      Têtu que j'étais j'ai encore attendu une semaine , se qui fessai déjà au moins quartes semaines que mon sexe étais prisogné , que je n'est pas pus me soulage , mes bourses étais tellement plaines que quant je pissé il y avais du sperme qui sortais aussi . Résigné je décida de me-rendre chez mon bourreau , je pensé qu'une fois,  libérer je pour est m'enfuir .

      Mon courage a deux main je pris rendez-vous et je me rendit chez lui, il me fis entre , referma la porte , me fis entre dans le salon et là je ne vis que là table ou je fut entravé et flagellé .

     

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